| | evan ▬ on air, off shore, out of control ! | |
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Evan O'Connor
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♠ date d'inscription : 25/04/2010 ♠ âge : 33 ♠ localisation : par là ♠ métiers / job : travail au noir ; videur au viper room
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| Sujet: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 12:25 | |
| Evan O'Connor
MON SECRETEvan est atteint d'une maladie cardiaque depuis qu'il est jeune. Le sport est pour lui quelque chose à qui il tient énormément et c'est toujours difficile de maîtriser ses efforts. Il prend un traitement pour lutter contre cette maladie qu'il n'a révélé à personne, même pas à Louise. Seul pour affronter cette maladie cardiaque qui lui gâche la vie, Evan a parfois du mal à l'assumer. MON CARACTEREAttachant - Blagueur - Séducteur - Indépendant - Patient - Réaliste Arrogant - Infidèle - Imprévisible - Jaloux - Manipulateur - Solitaire
Evan O'Connor. Autrement appelé le bel étalon par excellence. Tout dans sa personne appelle au désir et à l’envie. Que ce soit sa voix, suave et virile, ou son corps, mince et imposant, il est difficile de résister à l’envie de partager le même lit que lui. Bel homme qui possède en plus de nombreuses qualités morales. Comme quoi ? Sa gentillesse à toute épreuve, tout d’abord, qui fait de lui quelqu’un d’avenant, social. Il n’hésitera pas à engager la conversation avec un inconnu, à le mettre à l'aise et sait pertinemment bien combler les blancs – qu’il déteste – dans une conversation. D’une grande politesse, il répugne à manquer de respect envers qui que ce soit. Certes il n’hésite pas à partager les plaisirs du corps humain avec une proie repérée à l’avance, mais seulement parce qu’elle est consentante. Ô grand jamais il ne s’amuserait à jouer avec les sentiments de quelqu’un. N'étant jamais tombé amoureux car n'en ayant jamais eu l'occasion, il ne se fait qu'une vague idée de ce qu'est l'amour. Jamais tomber amoureux? Tout vient à point à qui sait attendre. Et s'il savait que son tour arrivait à grand pas... Cette ignorance provisoire peut parfois le rendre indifférent aux sentiments que les jeunes femmes partageant son lit peuvent ressentir. C'est de là que l'on peut le penser sans coeur. Coeur d'artichaut a été son surnom durant de nombreuses années. Mais il tire des leçons de ce qu'il voit, de ce qu'il sent et entend. Ses propres expériences ne sont que trop rares pour en tirer leçon. Ce qui l’a amené à être d’une loyauté sans faille envers ceux à qui il donne son amitié. Amitié un jour donnée, amitié pour toujours gardée. C’est ainsi que fonctionne Evan. Mais n’allait pas croire qu’il a des amis dans tous les sens. Il y a une différence entre les amis et les connaissances ! Le fossé qui les sépare est énorme. Cependant, le fossé entre connaissances et one night est quasi inexistant. S'il éprouve un minimum de respect envers ses amies pour ne pas les draguer à outrance, il ne se gênera pas envers les autres, conscient de son physique. Possessif envers les personnes qui lui sont chères, il n’hésite pas à jouer les protecteurs et à surveiller jalousement qui s’approche de qui. Parfois, cette jalousie l’emmène à chercher des noises à un jeune homme trop entreprenant envers une ex petite amie - d'un soir ou non - mais plus généralement envers sa petite sœur et Louise. Même s'il ne se l'avoue qu'à moitié. Ce qui se termine irrévocablement en une bagarre dont il sort vainqueur. La plus grande majorité du temps, bien sûr. Il ne nie pas qu’un jour peut arriver où ce sera lui le nouveau patient à l’hôpital. Néanmoins, cet esprit belliqueux contraste avec la douceur et la sensibilité dont il use souvent en compagnie des personnes qui comptent réellement dans sa vie. Que ce soit dans ses paroles ou ses gestes, il est attentionné et d’une grande délicatesse, faisant de lui un ami - ou amant - passionné et passionnant. Son humour, de plus, achève de faire de lui une personne agréable et indispensable pour les autres. Mais comme tout bel homme qui se respecte, Evan O'Connor a également des aspects négatifs. Des défauts qui font ce qu’il est malgré tout. Pour résumé, le jeune homme est imprévisible. Personne, même ceux qui le connaissent bien, ne peut prévoir à l'avance ce qu'il va faire, ou ce qu'il pense. Parfois, un simple refus - quelconque - peut le mettre dans une colère noire. Si parfois il ne parle que peu, sa tête n'en pense pas moins et parfois pas que du bien. Mais les préjugés sont partout paraît-il, et s'arrêtait à la première impression reviendrait à dire qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. vous le voyez comme un imbécile, lui? Vraiment. Ce côté manipulateur également, qui est sien. Il peut également réussir à charmer n’importe quelle personne avec un sourire, une parole bien placé. Tout le monde tombe dans ses filets, même les plus dures. Sa franchise peut parfois laisser à désirer, préférant laisser couler l'affaire plutôt que de l'envenimer de paroles négatives. Néanmoins il reconnaît que c'est là un défaut. Indépendant depuis son plus jeune âge, il lui arrive d'avoir ce désir de s'écarter des autres. De partager cette solitude avec lui-même. De pouvoir respirer. De s'éloigner de la connerie humaine. Evan peut être inquiétant pour les gens qui ne le connaissent que superficiellement. De plus que parfois, il peut se montrer têtu et ennuyant. Casse pompes quoi. Bien que l'aîné, il lui arrive d'avoir des bulles d'air dans le cerveau et de littéralement péter les plombs. Même si ça arrive très souvent... C'est grave docteur? Ce qu’il reconnaît également, c’est qu’il est le meilleur séducteur des Etats-Unis - et même du monde! - qui soit. Héhé.
| © malicious
Nom • O'Connor Prénom • Evan Age • 24 ans Date de naissance • 13 Novembre 1985 Lieu de naissance • Paris Signe astrologique • Scorpion Etudes / métiers • Travail au noir Orientation sexuelle • Hétérosexuel Groupe • couldn't-care-less Avatar • Robert Pattinson |
TEST RP
Décidément, je n'arrivais pas à croire qu'un simple décès puisse mettre toute la ville en émoi. Un homme est mort, merde. Pas de quoi faire une montagne. Est-ce que l'on s'intéresse à tout ceux qui décèdent de maladies, sous-nutrition ou autres? Que neni. Alors cette histoire d'assassinat m'amusait. Ce qui déclenchait des regards horrifiés de la part des personnes que je connaissais. Fuck. Jm'en fous. Faites vous des frayeurs inutiles moi, je choisis l'indifférence. Certes je concevais que la perte devait être lourde pour la famille. Quoique. D'ici à c'que le pauvre homme ne se soit pas fait descendre par sa propre fille. La connerie humaine. Encore une fois. J'en étais certain, il était question d'héritage. Ou une saloperie du genre. Tout ce remue-ménage pour du pognon. A croire que les psychologues ont raison lorsqu'ils accusent l'être humain de tous les vices possibles. Avarice, vengeance, luxure... Ah tiens. Incroyable comme ce péché capital sonne délicieusement dans ma tête. Ne m'en voulez pas messieurs, mais je conçois être né pour baiser. Quoi? Pourquoi ces regards mortifiés? Vous n'avez jamais eu de femmes dans votre lit? Putaain, les nazes. Désolé les gars, on ne joue pas dans la même cour. La Cour des Grands m'appelle. Décidant d'échapper au bourrage de crâne que représentait l'affaire, je me ruais dehors. Le vent frais accueilli ma sortie et me remonta le moral. Au moins un qui ne me fuyait pas. Comme la peste. Magueule. J'en ai assez de penser à tout ce grabuge. Et le seul moyen pour me remettre d'aplomb était de boire. Wine Odyssey ma parole. Du bon son que ce fucking bar. Presque toutes mes soirées se passaient là. Bon tout ça. A force le patron, c'était dans la poche. Et ouais, tout un art mec. Dix-neuf heures s'affichaient sur l'écran de mon iPhone. Tôt. Trop peut-être. Peu importe, je picolerais en attendant que les concerts commencent. Vêtu de mon jean délavé et troué à quelque endroit, suivit de ma veste en cuir, je pénétrais dans le bâtiment. A défaut d'une femme, je choisissais le bar. Mike, le propriétaire vint à moi avec force sourire et rire gras. Honnête homme, quoiqu'un peu hystérique. Mais agréable. Il m'invita à boire un coup. Je regardais avec délice le whisky surplomber le coca. Avec lui tout prenait une dimension différente. Peu importe ce qu'il se passe on doit s'amuser. Et règle fondamentale: « On ne noit jamais le whisky dans du coca. Le whisky doit toujours avoir le dessus. Tu m'entends mon garçon? » Un rire sincère s'éleva de ma gorge tandis que j'acquiesçais. Toujours le même. Ah! l'ouverture, enfin.
Les gens affluaient comme si les soldes étaient avancées. Se précipitant au comptoir ou les poufs pour avoir de quoi s'asseoir et se bourrer la gueule. Jamais je n'étais venu accompagné dans ce bar. Du moins à mon entrée. Je ne nie pas qu'à ma sortie, j'étais bien entourée. Une fille dans chaque bras, et le corps déjà mutilé de leur désir croissant. Tiens, encore un vice. La gourmandise. Un morceau de soul s'éleva et acheva de me détendre. Je buvais machinalement, comme s'il s'agissait d'oxygène. Tandis que mon regard se promenait paisiblement sur les différents visages présents, je sursautais. Quelqu'un de familier? Putain, impossible de me souvenir. J'étais certain d'avoir déjà vu cette fille là quelque part. En dépit des grosses lunettes posées sur son nez. Cette façon de crisper le coin de ses lèvres, de se tenir droite. C'est pas possible. Je n'en étais qu'à mon premier verre et je perdais déjà les pédales. Bon sang, mais oui! le soulagement m'envahit. C'était cette bonne femme qu'il avait vu à la télévision et aperçut un jour en ville. Elle était femme de ménage. Non, pas ça. Baby-sitter, oui! il était temps. Baby-sitter de la famille McOwens. Suspecte parmi tant d'autres. Curieusement, une fois son identité découverte je se lassais. Elle portait des lunettes dans un endroit sombre, jetait des coups d'œils furtifs un peu partout. Elle tenait à garder l'anonymat. Dans quel but, ça. Possible qu'elle ait un lien avec le meurtre, mais je tenais en horreur les suppositions non fondées. L'envie simple de ne pas être regardée de travers ou d'avoir un quelconque problème. La chose était plus plausible. J'avais déjà dit à ce crétin de journaliste que de cette histoire, je m'en branlais. Les autres peuvent bien s'entretuer. Tant que rien ne me touche de près ou de loin, ça ne m'intéresse pas. Le pauvre bougre s'est fait liquider, on l'enterre, chante deux trois chansons lugubres en une langue incompréhensibles et on oublie. Merde quoi. Il n'y avait plus moyen de regarder un film tranquillement sans être coupé par des bribes des journaux télévisés parlant de l'affaire. Combien de fois avais-je péter les plombs en revoyant pour la énième fois de la matinée la femme qui présentait sur les informations sur Entertainment Television? Assez pour être prêt à charger le fusil à pomper et s'occuper personnellement de son cas. Elle en parlait? Elle voulait savoir l'effet que ça faisait? Qu'elle ose encore en parler et me couper dans ma série, et ses vœux seront exaucés. Revenons-en aux faits. Malgré mon désintéressement quand à l'histoire, je la fixais tout en portant le verre à mes lèvres. Avant de remarquer qu'il était vide. Waa, doué. Elle dut me voir également car un léger sourire étira le coin de sa bouche. Je ne pus m'empêcher de répondre à ce sourire par un petit rire. Rire qui exprimait mon hilarité quand à sa tentative de dissimulation. Quand à l'importance qui lui était due. La jeune femme baissa légèrement ses lunettes et me regarda droit dans les yeux. Sans quitter ce sourire. Puis elle remit ses lunettes et s'éloigna lentement, semblant danser sur ses escarpins dorés.
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PARCOURS
« Evan? Evan! Allez lèves toi, on va être en retard! » Voix lointaine. Réveil difficile. Quelqu'un m'appelle? Merde s'il-te-plaît tais-toi, laisses moi dormir. Juste quelques minutes encore, j'veux pas me réveiller maintenant. Plus tard. « Grrmf... » fut ma première tentative pour me réveiller. En vain. La jolie demoiselle qui habitait mon rêve ce jour-là m'accaparait tout entier et me faisait des choses qui auraient fait fuir l'Eglise entière. Bon dieu que c'était bon. Jt'en supplie la voix arrêtes, laisses moi terminer au moins. « Me sautes pas dessus, peste. » Putain ouais, elle l'a réussi son coup. Mon fantasme s'évapora comme une fumée de cendres puis disparue. Je vais la tuer. Grognant et grognon je rejetai les draps blancs au pied de mon lit et écartait d'un geste impatient les boucles blondes qui s'agitaient au-dessus de moi. April O'Connor. Ma cadette. Petite garce de seize ans qui me rendait la vie impossible. Mais dont, étrangement, je ne pouvais me séparer. La vie est mal faites, je vous l'accorde. Il est tellement insupportable de se voir dépendant des personnes qui nous énervent. Bon dieu, et elle continue à parler? Un coussin vola et atterrit sur la jeune femme qui poussa un cri strident. Merde, mauvaise idée. Ouais c'est bon j'me lève, t'enflammes pas. Les yeux encore plissés de sommeil je me dirigeai comme un automate dans la salle de bain. « Putain April, nettoies après ton passage! » hurlai-je tout en pataugeant dans cinq bons centimètres d'eau. Une femme et pourtant incapable de faire le moindre ménage. Bonne à marier, que disait ma mère? L'eau brûlante caressa mon échine tendue et s'empressa de dénouer les nœuds. Comme chaque matin depuis que je l'avais rencontré, je pensais à elle. A son sourire, sa manière de remettre une mèche de cheveux derrière son oreille. Ce ton qu'elle usait lorsqu'ont étaient ensemble. Le contact de sa peau de pêche frôlant la mienne. Dix-sept ans avait beau être l'âge de tous les vices, celui que je ressentais envers Louise Keira Ainsworth me faisait trembler. Moi, Evan. Pourtant connu pour être maître de ses émotions, et pour faire preuve d'un bon sens peu commun. Je tâchais de passer le plus de temps que possible à ses côtés. Pourquoi? Vous allez rire, mais quelque chose me soufflait que ce rêve prendrait fin. Stupide prémonition. Qui pourtant se révéla vraie.
« Putain, elle me manque, 'Pril. Terrible. » confiais-je à ma cadette, la tête entre mes mains frémissantes. Et dire qu'il y a peu tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mon bonheur s'écroulait comme un château de cartes. Et le pire était que je n'y pouvais rien. Quoique je désire. Louise était partie, me laissant comme une âme en peine. La condamnation de mon père n'arrangeait en rien mon sentiment de détresse. Mais le pire du pire? Ma mère, qui durant tout ce temps s'était empressée de porter secours à mon paternel dans le trafic illicite, me troublait. Elle que j'avais pensé si prude, si blanche de toutes saloperies. Mon idéal féminin s'évaporait et ne devait jamais plus venir me faire rêver. Mais je n'avais pas le droit de me laisser aller. A mes côtés, April était bouleversée. Mon devoir à présent était de prendre nos vies en main, de tout faire comme l'aurait fait notre père. Comme il me le disait souvent: « Quoiqu'il puisse arriver, ne laisses jamais quelqu'un prendre ta vie en main. Toi seul est maître de ton destin. » Un grand homme, en fin de compte. A ce souvenir, une bouffée de révolte gronda dans mon corps d'homme de dix-neuf ans. Homme. Voilà ce que j'étais. Et en homme je devais agir pour oublier. Le regard que je posais sur les yeux flous de larmes de ma cadette s'attendrit. Ouvrant mes bras, j'accueillais ce corps en détresse, lui transmettant toute la force que j'étais capable d'éprouver. Enlacés, partageant nos malheurs, nous restâmes ainsi une bonne partie de l'après-midi. L'amour que je lui portais était sincère, et plus pur que n'importe quelle blanche neige. Quand ses boucles blondes dansaient devant moi, je ne pouvais m'empêcher d'y passer la main. Doucement, lentement. Prenant garde à n'en défaire aucunes afin que le charme reste entier. Puis ce regard. Digne des O'Connor. Ce regard doré qui faisait flancher n'importe quelle personne. Connue ou inconnue. Oui, elle seule restait celle qui ne m'avait jamais déçue. La seule pour qui je serais capable de tout donner. Tout. Celle qui conservait mon cœur et mon amour dans un coffret bien gardé, attendant le jour où il pourrait être libérer pour une autre femme. C'est incroyable de voir que parfois, mettre des mots sur un sentiment est inutile. Comment voulez-vous expliquer la relation qu'on entretenait? C'est un petit quelque chose que seuls les concernés ressentent et préservent jalousement. Un cadeau.
« Tu m'aimes? » La question me fit l'effet d'une douche froide. Endormi, j'étais certain d'avoir mal comprit le sens de sa demande. Non. Je n'avais pas mal entendu. Merde, pourquoi les femmes ont toujours de telles questions aux lèvres? Prenant mon temps, je me tournais sur le côté afin de lui faire face. Fuck, comment lui dire une telle chose? Pourquoi ne se contentait-elle pas de ce qu'il lui donnait? Son corps et son intimité, n'étaient-ils pas suffisants? Je passais une main sur mes joues mal rasées, cherchant mes mots. « On va faire simple. L'amour c'est... Putain. Comme un orgasme on va dire. Il faut trouver la bonne personne, prendre le temps de fusionner les corps et la passion. Ça peut mettre des années, peut-être vingt ans avant de se libérer! Et les jeunes femmes trop pressées ne le connaissent parfois jamais. » Avais-je été explicite tout en restant dans l'implicite? Je l'espérais. Perplexe, ses iris d'un gris pâle me fixaient, comme s'ils désiraient connaître ce que ma tête pensait réellement. Et ce que mes lèvres et mon tact avaient empêché de laisser sortir. « C'est clair. Très clair. » Brusque réaction. Levée d'un bond, elle entreprit de rassembler ses affaires et de s'en aller au plus vite. Ne tentant aucun geste pour la retenir, je fixais le plafond. Je comprenais. Un an que l'on partageait le même lit lorsque l'envie nous prenait. Un an qu'elle nourrissait à mon égard bien plus qu'une simple attirance sexuelle. Quel con. Je n'avais rien vu venir, en plus. La porte claqua, mes paupières se refermant un court instant sous la claque. Bon. Puis, quelqu'un sonna. Ne cachant plus ma mauvaise humeur, je marmonnais des paroles incompréhensibles tout en enfilant un boxer, et prenant la direction de l'entrée. Tant pis pour la personne, elle aurait droit à la quasi tenue d'Adam et Eve. Impatient, j'ouvrais la porte. Putain de bordel de mes deux! Qu'est ce qu'elle foutait là? La surprise m'empêchait le moindre mot, et pourtant mon corps bouillait de rage. Quel con, mais quel con! Louise. Les joues rosies par la fraîcheur matinale. Ses cheveux blonds éparpillés sur ses frêles épaules. Ses yeux. Ses lèvres... Le spectacle que je lui offrais n'avait rien d'idyllique. Bien évidemment, j'étais mis à nu. J'avais l'impression de lui transmettre ma nuit précédente, dans les bras d'une autre femme. Putain, si elle savait combien j'aurais aimé que cette femme ait son visage. Son odeur. Qu'elle prenne sa place. Je m'en voulais. A mort. Puis ce silence entre nous me dérangeait. Me blessait. D'un geste impatient j'ébouriffais mes cheveux châtains et m'écartait de l'ouverture. « Tu veux entrer? »
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INTERROGATOIRE INEVITABLE
Répondez aux questions comme une interview, donc à la première personne du singulier. Rédigez quelques lignes à chaque question pour bien expliquer vos propos.
•• Que pensez-vous de l'assassinat du docteur McOwens ?
Bof. Vous savez, ce n'est certainement pas la première ni la dernière personne qui est assassinée. Il y en a eu et il y en aura d'autres. Personnellement, celui qui a fait le coup est effrayant. Mais j'admire sa capacité à faire autant parler de lui sans se faire prendre. Respect mec. •• Le connaissiez-vous ?
Du tout. Les médecins, j'évite. Toujours à vous donnez des ordres, à vous dire ce que vous avez comme s'ils le savent mieux que vous. Insupportables. Quand ça n'va pas un bon cachet d'aspirine et hop. On en parle. •• Où étiez-vous au moment du crime ? Et que faisiez-vous ?
Oulaa. Bonne question. Putain, j'sais plus. Ah oui, j'étais au cinéma. Non, ce n'est pas un alibi bidon. C'la vérité vraie. Avec Sacha M. Wellinghton. Bordel, jamais vu de femmes aussi chaudes. Pas de vulgarité? Hein? •• Face à cette affaire, comment réagissez-vous ? Je n'en ai que faire. Mais merci d'vous inquiétez de mon avis. Il y a assez de monde qui travail sur cette affaire, j'vois pas l'intérêt de s'y mettre tous ensemble. Sa famille a mon condoléances, mais rien de plus. •• Selon vous, qui pourrait être l'éventuel suspect ? Ce n'est pas dans mes habitudes d'émettre des jugements non fondés. Mais bon, il paraît que c'est pour la bonne cause. Enfin surtout pour la presse, vous m'excuserez. Mais ce Peter Clarke, de vous à moi. Vous ne trouvez pas qu'il a une tête de... Filou pour rester poli?
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LE MASQUE TOMBE
pseudo(s) : nicho prénom : nicholas âge : 19 ans sexe : homme? niveau RP : Bon? exemple de poste : - Spoiler:
« L'espoir fait vivre Julian. Le jour où je serai folle de toi, n'est certainement pas prêt d'arriver je te rassure. » Héhé. Ce que j'aimais le plus chez la jeune femme? Sa répartie. Ces réflexions qui venaient ponctuer les miennes, ces remarques cinglantes qu'elle me balançait avec autant d'indifférence que permis. Probablement que pour elle, j'aurais du comprendre depuis belles lurettes que mes chances étaient réduites à néant. A l'heure qu'il est, je ne doutais pas qu'elles étaient dans le négatif. Mais quiconque me connaissait un tant soit peu savait pertinemment que me rejeter était synonyme de m'attirer. Je n'étais pas vraiment différent des autres hommes sur ce point. Qui a déjà aimé la facilité, peu importe laquelle? Lorsque tout vous tombe directement dans le bec, il n'y a aucuns défis à relever, aucuns objectifs. Alors que si on rencontre des... contretemps, la chose devient brusquement différente. On cherche par tous les moyens d'accéder à ce qui nous ait refusé, à posséder ce qui se dérobe à nous. Mon plan était similaire. Plus Cassiopea me rejetait, plus je pensais entendre insistes! Elle ne te résistera pas, crois moi. Alors je croyais cette petite voix qui savait me redonner confiance lorsque j'en avais besoin. Quoique là, je doutais qu'il ne s'agisse de confiance... Ce n'était qu'une question de temps. Aucunes ne m'avaient résisté à un tel point jusqu'ici, ce n'était pas pour essuyer une défaite maintenant! Puis j'étais persuadé d'avoir des points communs avec elle. Du genre? Et bien... Hum, je cherche et vous le dit plus tard, d'accord? Pour le moment j'ai à me concentrer sur cette demoiselle qui me renvoi sur les roses à la moindre occasion. C'est ce qu'elles disent toutes avant de succomber. rajouta-t-il tout en récupérant sa paire de basket laissée sur le côté. Quoi? Ne me regardez pas comme ça, comme si vous étiez face à un de ces prétentieux ridicules! Je ne suis pas prétentieux. Je dirais que je suis seulement conscient de ce que je suis, point à la ligne. Sans me sur ou sous-estimer, bien évidemment. Puis de mon point de vue, elle râtait quelque chose en jouant les inaccessibles. J'étais connu pour être maître dans l'art du sport de chambre mais également pour faire durer le plaisir. Ce n'était tout de même pas ma faute, non mais vous avez fini! « Tu m'excuses, j'ai envie de fumer. » Faites ma chère, faites. J'esquissai un bref mouvement de la main pour lui qu'il n'y avait aucuns soucis. Tout en la regardant fumer sa clope, je ne pus réprimer un léger sourire en coin. Tout ce foutage de gueule, cette ironie me faisait bien marrer. Après tout, l'amour commence toujours par la violence! Ou pas. Désireux d'emmerder mon monde jusqu'au bout, je m'allongeais sur le côté, face à elle. Ayant prévu une pause durant mon footing je tirais mon paquet de Lucky de ma poche gauche, attrapa une cigarette et la cala entre mes lèvres tout en l'allumant. Il n'y avait rien de mieux à sa connaissance. Enfin, si. Allez chaton, avoues moi tout. J'te plais pas? Dans le noir on voit rien, pourtant. poursuivais-je, un brin d'ironie dans le regard. Quel gâchis que de baisser les bras maintenant et de laisser s'échapper ce joli morceau! Aïe. Si Aaliyah entendait mes pensées, elle ne répondrait plus de ses actes. Que diable, il faut vivre! On est jeune qu'une seule fois dans la vie, et c'est d'ailleurs la meilleure période. Tout est beau, simple, excitant et enivrant. J'aurai tort de ne pas suivre la ronde. Abaissant mon regard sur le débardeur qui me couvrait le haut du corps, je remarquais à quel point l'effort avait été grand. Toutes ses fibres étaient trempées, et le tissu me collait à la peau comme une sangsue. Je décidai de l'enlever. Certes ça faisait peut-être un peu... Prétentieux - mais rappelez-vous, je ne le suis pas! - mais je n'avais que cette alternative si je voulais qu'il sèche un minimum pour éviter de tomber malade. La crève est tellement vite attrapée. Salo'prie. J'étendis le vêtement à mon côté sur le sable et basculais sur le dos, reposant sur mes coudes. Certes, je n'étais pas pu fier du corps qui était mien. Mais pour sûr que j'aurai droit à une nouvelle remarque cinglante sur mon état. Perspective qui me fit sourire avec délice.
comment avez-vous connu SS ? : sur Life in UCLA présence /7 : 2/7 pendant les cours (pas d'internet à l'appart' oblige) et 7/7 pendant les vacances. code des règles : - Spoiler:
"CODE OK autre(s) chose(s) ? : 8D
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Dernière édition par Evan O'Connor le Dim 25 Avr - 15:11, édité 22 fois | |
| | | Ludivine O. McCabe
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 12:38 | |
| Rooobbbeeeertttt ! Et un homme en plus, c'est pas possible xD Hmm, j'arrête de baver et je te souhaite la bienvenue parmi nous ! Je t'envoie ton test RP de ce pas. Si tu as des questions n'hésite pas à nous contacter. Je réserve ton avatar =) | |
| | | Evan O'Connor
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| | | | Louise K. Ainsworth
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 12:56 | |
| Ohhh mon Evan ( Ludi fait moi penser à ajouter des smileys xD ) Bon courage pour ta fiche, faut qu'elle soit parfaite ! Nan j'te met pas la pression t'inquiètes (aa) Ton test RP te sera bientôt envoyé | |
| | | Ludivine O. McCabe
♠ date d'inscription : 10/03/2010 ♠ localisation : Loully
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 12:58 | |
| Ahhhh une connaissance de Louise en plus ^^ Je lui ai déjà envoyé le test RP, mais si tu veux t'en occuper il sera sûrement mieux que le mien xD | |
| | | Louise K. Ainsworth
♠ date d'inscription : 07/02/2010 ♠ âge : 32 ♠ localisation : Australie ♠ métiers / job : Etudiante
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 12:59 | |
| Non vas-y Pas trop d'inspi là xD | |
| | | Evan O'Connor
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| | | | Calypso L. Wilsher
♠ date d'inscription : 25/04/2010
| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 13:04 | |
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| | | Louise K. Ainsworth
♠ date d'inscription : 07/02/2010 ♠ âge : 32 ♠ localisation : Australie ♠ métiers / job : Etudiante
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 13:04 | |
| Hum alors on verra bien le résultat =P Si tu as des questions à propos du perso n'hésite pas. Ton gif est magnifique au passage (a) | |
| | | Evan O'Connor
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| | | | Evan O'Connor
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| | | | Ludivine O. McCabe
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 14:58 | |
| Oh my fucki*g god ! Je suis trop fan de ta façon d'écrire, c'est parfait ! Tout est parfait, en plus je n'ai trouvé aucune faute O_O J'adore ton personnage, et je viendrais quémander un lien, obligé ! Très belle fiche, vraiment. Bref, je pense que Louise sera d'accord avec moi pour te valider Par contre tu n'as pas mis le groupe que tu souhaitais xD J'imagine les Could'n't care less ? | |
| | | Evan O'Connor
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| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 15:01 | |
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| | | Ludivine O. McCabe
♠ date d'inscription : 10/03/2010 ♠ localisation : Loully
MY DIARY RELATIONS: TOPICS: Open (:
| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! Dim 25 Avr - 15:06 | |
| Ouii c'est un gros point fort ^^ Tu es officiellement notre premier membre ! Youhou, félicitations xD Je t'ai ajouté à ton groupe. N'hésite pas à poster dans les demandes, fiche de liens, etc ... et à voter pour nous, lorsque Louise arrivera en héroïne pour ajouter les topsites à la PA BON JEU ! | |
| | | Evan O'Connor
LIKE A ROLLING STONE ♣ i'm blowin' in the wind
♠ date d'inscription : 25/04/2010 ♠ âge : 33 ♠ localisation : par là ♠ métiers / job : travail au noir ; videur au viper room
MY DIARY RELATIONS: TOPICS: Open (:
| | | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: evan ▬ on air, off shore, out of control ! | |
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| | | | evan ▬ on air, off shore, out of control ! | |
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