C. Aphrodite McOwens
♠ date d'inscription : 25/04/2010
| Sujet: CALYPSO MCOWENS ♣ Shut up and read. Underscontstruction Dim 25 Avr - 17:33 | |
| Calypso Aphrodite McOwens
MON SECRETComme tout le monde le sait, entre le Docteur Owen et sa fille, celà n'a jamais été toujours rose. Certains pensent que leur relation c'est détruite quand Calypso rencontra Peter mais nenni, la belle Calypso détenait déjà une immense haine qu'elle détenait au fond d'elle, envers son père, bien avant de rencontrer le somptueux Clarke. Cette haine est vouée à une souffrance dû à son père. La fille McOwens n'a pas été qu'une fois enceinte.. Elle avait 17 ans et quand son père l'appris il l'obligea à avorter. MON CARACTEREdouce; séductrice; ambitieuse; entreprenante; forte; manipulatrice; protectrice; joue une comédie
Puis, en une quinzaine de ligne, rédigez la description psychologique de votre personnage. N'hésitez pas à traiter tous les traits de la personnalité du perso. ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI ICI
| © Woody Pepper
Nom • Prénom • Age • Date de naissance • Lieu de naissance • Signe astrologique • Etudes / métiers • Orientation sexuelle • Groupe • Avatar • |
TEST RP
- Citation :
- Voilà déjà quelque jours que tu es au coeur de toutes les discussions. Le meurtre ayant eut lieu récemment n'a pas pu t'échapper, étant la fille de la victime. Contre toute attente, c'est une guerre sans merci que tu entreprends avec ton futur mari Peter Clarke, au sujet de l'assassinat. Montés l'un contre l'autre, tu décide d'enquêter sur lui pour savoir s'il ne serait pas impliquer dans cette affaire qui te fait encore pleurer aujourd'hui. Décris cette scène en un nombre convenable de ligne, n'hésite pas à traiter tous les traits de la personnalité de ton personnage.
Des gouttes de sueur infimes coulèrent sur ma peau, mes poils s'hérrissèrent à cause d'une chose qui pouvait se traduire par un seul et infâme mot: la peur. Rêve ou réalité, la peur ne m'échappait pas. Mon souffle était saccadée, par un mélange de retenu et ... bah faut bien que je respire pour vivre, quoi. Tout mes sens étaient comme suspendus et je n'attendais qu'une chose, leur résurrection. Je voulais ouvrir mes yeux pour retrouver ma vue, mais mes yeux étaient comme paralysées, j'avais beau clignée des paupières dans ce monde parallèle, la réalité me boudait. Je voulais de nouveau sentir, qu'importe l'odeur, même l'odeur abominable de Peter au réveil me manquait. Je voulais entendre, oui même les ronflements irritants -qui me faisait bourdonné les oreilles- de mon cher fiancé. Cruauté qu'est ce maudis marchand de sable. Pourquoi ne plus me faire revivre les rêves de princesse que je faisais enfant ? Au lieu de ça voilà plusieurs jours que je subissait le même cauchemars, j'assistais à cette scène terrible. Où des images cruelles me montraient père en train de mourir. Je m'approchai en pleur, tenant sa tête en l'agrippant par ses cheveux sel et poivre et lui articulant un mot "Peter".
Je sursautai. Oui c'était encore un mauvais rêve.. Enfin j'avais beau me dire que ce n'étais pas la réalité j'avais toujours des doutes sur la culpabilité de Peter. Des images de la vraie "réalité" me vinrent, quand moi sur la rambarde de l'escalier la veille de l'assassinat je le vis l'arme en main. Non, non && Non! Cela ne peut pas être lui, c'est impossible. Mon futur mari..un meurtrier ?! Moi aussi j'étais bien une suspecte, et pourtant je ne suis pas une meurtrière. On m'accuse parce que..je suis sa fille! Et que j'empochai l'héritage, parce que j'allais buté mon cher père pour le fric, bien sûr.. Okay j'avoue je l'ai pas toujours portée dans mon cœur ce type là, n'empêche c'est lui qui m'a élevée et rien que pour ça je lui suis reconnaissante. Et si c'était moi la meurtrière ? Oui peut-être que je vous embobine, comme papa disait, j'ai toujours été une peste avec un incroyable talent pour la manipulation, c'est génétique que voulez vous. Ou peut-être que je ne me rappelle plus de l'avoir tué, c'est bien possible, à l'école on disait que j'étais dérangé même mon psy, demandez lui! Mais ça peut se comprendre avec ma mère et d'autres choses la vie n'a pas toujours été très rose pour moi..
Au pied de mon lit, une larme se positionnai au coin de ma pupille, de mon poing je la frottai. Rouge, voilà le sombre résultat qui en venait, mon œil était rouge. Je priai que Peter n'était pas dans les parages pour me voir dans cet état. Déjà qu'au matin je ne suis pas terrible, terrible mais alors là si je pleure en plus.. Je me retournai tâtant l'oreiller et m'apercevant de la disparition de mon fiancé, sûrement parti faire des courses. D'une respiration régulière, je me levai doucement, pied gauche dans la pantoufle droite, pied droit dans la pantoufle gauche, oulaaa que la journée s'annonçait bien--' Traînant des pieds je me dirigeai vers un miroir. Scrutant mon reflet, je décryptai chaque trait de mon visage, comment peux t'on penser que j'ai tuée papa.. Ensuite en arrière plan, mes yeux se posèrent sur des cadres photos posés sur les tables de chevet. Sur ma table il y avait moi petite fille dans les bras de mes parents. C'était le bon temps.. Sur la table de Peter, il y avait nous deux.. Je pris le cadre et de mon index je caressai la vitre du côté de Peter. "C'est qu'un ex petit voyou pas un meurtrier" soufflai-je comme pour m'en persuader. Sur cette photo, nos visages sont illuminés, illuminés par un amour. Amour toujours présent mais qui depuis la mort de mon cher père est devenu moins démonstratif. Et oui Papa à eu au fond ce qu'il voulait. Hier encore notre dispute était au sujet de papa...
#FLASHBACK ON #
La veille au soir, à l'heure du dîner, j'attendis Peter qui devait revenir du commissariat. Pour calmer l'atmosphère j'avais préféré l'un de ses plats fétiches et préparée la table de telle manière que celà fasse "dîner en amoureux". Mais une fois arrivé je vis qu'il n'était pas de très bonne humeur. Pendant le dîner au début je ne préférai pas m'aventurer sur sa journée.
"PUTAIN DE C... DE POULET" "QUOI ? Il est pas bon mon poulet ?" "Des flics, chérie. Je parle des flics" "Ah ok. Mais tu le trouve comment le poulet ? Je l'ai pas trop cuit ?" "Non c'est délicieux, je te jue ma puce" "Ouuf tu me rassures. Sinon qu'est-ce qu'il y a, ça c'est pas bien passer au commissariat ?" " Voilà que ce crétin de flic à même envisage qu'on soit complice dans la mort de ton père. Même mort il va continuer à nous emmerder celui-là!" "Peter!" "Excuse-moi, ça m'a échapper" "...Dis moi.. Tu leur à dit quoi quand ils t'ont demander où t'étais quand papa c'est fait assassiner" "Que je me rappelais plus. Et crois moi si je savais que le vieux allais se faire buté je l'aurai retenu pour qu'on nous foute la paix" " Tu te souviens plus ? Tu te fous de moi !? " " Parce que toi aussi tu crois que c'est moi qui l'ai tué" "J'ai jamais dis ça!" "Oui mais c'est ce que tu penses, avoue! " "Je..."
De rage Peter jeta les couverts parterre et s'en alla..
#FLASHBACK OFF #
J'ai beau me dire que l'homme qui a tué mon père est un psychopathe et que je serai la prochaine sur la liste, je n'arrive pas à m'enlever de l'esprit les images de Peter l'arme en main.. Ça me ronge.. Je dois en avoir le cœur net! Il faut que je retrouve l'arme..
Dans le grenier je cherchai la mallette de Peter qu'il avait emmener après la guerre. Après une heure de recherche assidue je retrouve cette fameuse mallette mais il y avait peu de choses intéressantes juste des photos et des lettres que je lui avais envoyée quand il était en Irak. Je me surpris à relire ces fameuses lettres tout en ayant un rictus amusé, une femme amoureuse voilà le mot.. Ok je trompais à l'époque Peter mais bon.. il était pas là, faut bien que je trouve du réconfort. Et puis on me changera pas.
Soudain un bruit me fit sursauter, je reculai prise de panique puis pu faire un grand "OUF" ce n'était que la petite. Toujours à hurler au mauvais moment. Je descendit m'occuper de ma fille, puis enfin calmée pu reprendre mes investigations. Je fouillai par la suite dans la commode de Peter et trouvai de la paperasse et certaines choses qui pouvait être intéressantes mais que je n'ai pu vérifiée.. "HUM HUM" "OUPS. Heu, je cherchai les aspirines.." Oui Peter était arrivé, fallait maintenant le faire gobé tout ça mais vu mon grand talent ça sera pas bien difficile.
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PARCOURS
Rédigez en 30 lignes & plus, le parcours de votre personnage de la naissance en passant par toutes les périodes importantes de sa vie jusqu'à aujourd'hui, à Sydney. Vous pouvez employer la 1ere et la 3eme personne du singulier.
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INTERROGATOIRE INEVITABLE
Répondez aux questions comme une interview, donc à la première personne du singulier. Rédigez quelques lignes à chaque question pour bien expliquer vos propos.
•• Que pensez-vous de l'assassinat du docteur McOwens ?
•• Le connaissiez-vous ?
•• Où étiez-vous au moment du crime ? Et que faisiez-vous ?
•• Face à cette affaire, comment réagissez-vous ? ( vous voulez lancer votre propre enquête, vous n'en avez que faire... etc )
•• Selon vous, qui pourrait être l'éventuel suspect ? ( à voir dans les pvs )
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LE MASQUE TOMBE
pseudo(s) : prénom : âge : sexe : niveau RP : exemple de poste : ( spoilers )
Un très très vieux rp si mes souvenirs sont bons qui datent même de l'année dernière, je me remet dans le bain du rp vu que ça fait longtemps que j'ai plus rp et donc c'est de mes tout derniers rp ^^
- Spoiler:
"je t'aime, je te hais" « Ma vue se brouilla, mon odorat ne perçut rien, ni mon ouïe. Avais-je perdu tout mes sens ou tout cela n’était que pure manipulation pour me faire perdre la tête ? La sueur perlèrent sur mon front; le stress, la fatigue et même la peur me subjuguaient. Les petites particules sur ma peau d’habitude si douce et délicate, s’hérissaient. Mes jambes et mes bras serrèrent très fort la couette dans la réalité, l’invisible dans le rêve. Enfin rêve, .. La sensation que je subissait n’était pas adéquate à un rêve mais plutôt à un cauchemar. Oui j’était effrayée des deux par, par cette réalité mais aussi par l’irréel. Dans ce cauchemar je me trouvait dans le noir total, je sentais rien, je voyais rien. Le vide, le néant. Il n’y a rien de pire que ça. J’essayai en vain de me débattre. Soudain une lumière s’installa à l’autre bout du néant seul problème; je n’arrivais point à l’atteindre. La paralysassions me frappa comme la foudre qui frappe sur les arbres. On me donnait une ouverture que je ne pouvais atteindre ou peut-être ne voulait pas atteindre ? Pourquoi ? Une peur hante l’esprit à jamais, jusqu’à nous paralyser et faire qu’on ne peut atteindre notre but. Ce fut effroyable, je criai, criai..»
Criait.. D’un brusque mouvement Heather se réveilla. Ce cauchemar représentait une certaine réalité. Voilà quelques mois qu’Heather se sentait complètement paumée, perdu ne sachant plus s’orientée. Pourtant c’était toujours la même, point de vue physique, caractère rien n’avait changé. Et son aspect auprès des autres restait la même mais en elle-même quelque chose c’était fissurée. Comme une boussole qui tombe parterre. La blondinette souffla espérant que prochainement ce serait un jolie rêve qui l’attendrait. Malgré l’heure matinale, elle se leva ne voulant absolument pas retournée auprès du marchands de sable, elle en avait assez eu pour cette nuit. Le pied gauche dans la pantoufle droite, le pied droit dans la pantoufle gauche, ça commençait déjà bien, elle ne s’en rendit même pas compte. Miss Clapton fit quelques pas jusqu’à ce qu’elle fit prise d’un léger vertige, préférant se tenir contre le mur avant de continuer sa quête vers la toilette.
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Le sang suintait sur le sol immaculée. Disons que c’est pas pour rien qu’Heather à eu le droit à des surnoms tel que « Miss Catastrophe », « Casse-cou » ou que sais-je… Elle se trouvait sur le bord de la douche, un bout de coton pressant le gros orteil. L’explication d’un tel massacre était simple ; arrivée à la toilette, son envie fut tellement pressante qu’elle referma la porte trop tôt, résultat des comptes, son orteil en fit les frais. La douleur l’envahit tout d’abord par de petits picotements, ensuite par un mal qu’on pourrait qualifier « de chien ». Elle en laissa même une goutte sur ses yeux bleutés.
Dix minutes plus tard, le main c’était un peu calmés, tant qu’elle évitait le plus possible le contact du sol. Heather Maya entrevit son reflet dans la glace accrochée près de la douche, elle s’approchant en boitant légèrement. Non, elle n’avait pas changé. Machinalement, elle sourit, comme un entraînement vital. Disons qu’Heather n’a pas eu une vie très facile, un père absent, une mère aimante mais légèrement paumée,.. Le bonheur ne c’est pas fait directement, mais petite, elle voulait être de ces gens qui paraissent heureuse, alors elle se dirigeait tout les matins après un réveil douloureux, vers sa mère tout sourire, en lui demandant si le sourire paraissait vrai. Et chaque fois que la petite fille rencontrait quelqu’un elle lui souriait. Et ça, ça n’a pas changée. Heureuse, en colère, triste, à chaque moment, à n’importe quelle circonstances, dans tout les cas, Heather sourit. Un sourire qui au fur et à mesure s’avère spontanée. Alors devant la glace, elle vérifia que son sourire disait vrai, ensuite elle se toucha le visage comme pour voir si c’était bien elle. En passant par son menton, sa bouche, son nez, son front,.. Ensuite elle toucha une ligne un peu tarabiscotée, c’était une de ses blessures qui l’avait touché physiquement ainsi que psychologiquement. Une longue histoire..
Heather en avait marre de rester dans sa cabine, vu l’heure personne ne devait être debout. Elle décida de sortir au niveau du pont, pour profiter du calme vue que le pont devait être désert. Heather en avait presque oublié son orteil. O et puis shit.. Qu’est-ce qu’elle s’en foutait du mal, elle pouvait marcher et puis voilà. Même si sa marche était on ne peut plus bizarre, boitant à chaque pas, personne ne la voyait.. Juste avant de fermer la porte de sa cabine, la jeune fille se rendit compte d’un oubli. Vue que tout le monde faisait dodo autant en profitée.. OK, elle avait promis à tout son entourage qu’elle n’y touchait pas, ou plutôt plus. M’enfin,… Recommencer était si facile. Heather prit une cigarette du paquet se trouvant en dessous de son matelas puis là, put sortir de la cabine.
Une légère brise secoua ces cheveux platines, elle tira sur sa clope humant la fumée qui envahissait plusieurs de ses sens. Une main tena l’objet d’un délit, l’autre main s’agrippa à la rambarde du bateau. C’était si beau, cette vue.. Sa pensée s’arrêta nette, sentant une présence tout près d’elle, comme quoi ces sens n’était pas tout à fait brouillés. Un frisson la parcoura un court instant, elle se retourna dans le besoin de savoir qu’elle était cet individu et là..la paralysassions. On aurait dit que ces membres venaient d’être collée avec de la colle extra forte.. Un prénom tourna en boucle dans la tête de la jeune femme, un prénom qu’elle aimerait tant faire « delete ». Jaime. Une longue idylle puis .. L’horreur. Heather aurait tant aimé le fuir, mais c’était trop tard il le faisait face, et fuir à ce moment là aurait parut lâche. Alors ne sachant plus quoi faire, Heather lui lança un regard noir, pleins de haine et de reproches. Parce que oui cet amour si forte, c’était transformée en une haine tenace. Cet homme l’avait blessé, l’avait fait mal, l’avait fait peur. Bizarrement, aucun sourire lui vint, même en essayant de se forcer, rien ne venait. Heather rejoua les maladroites, tapant son pied contre la rambarde oubliant son orteil. Un petit couinement se fit entendre, mordant sa lèvre inférieur. Ensuite elle fit un léger « inspire, expire » pour lui souffler un. « Jaime..ca faisait longtemps » comment avez-vous connu SS ? : présence /7 : code des règles : (spoiler) autre(s) chose(s) ? :
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Dernière édition par C. Aphrodite McOwens le Mar 27 Avr - 15:41, édité 27 fois | |
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Ludivine O. McCabe
♠ date d'inscription : 10/03/2010 ♠ localisation : Loully
MY DIARY RELATIONS: TOPICS: Open (:
| Sujet: Re: CALYPSO MCOWENS ♣ Shut up and read. Underscontstruction Lun 26 Avr - 18:49 | |
| Alooors ! =D Au niveau des lignes et des idées c'est tout bon, mais je trouve qu'il y a quand même pas mal d'erreurs qui subsistent dans ton texte. Déjà tu peux rectifier toutes les premières personnes au passé simple. En effet, lorsque tu emploies un verbe qui finit par "ER", il faut le terminer par "AI" au passé simple. Exemple : je dévisageAI, je contemplAI. Or tu les as terminés par "A" ^^ En outre il y a des fautes concernant les infinitifs "er" et les participes passés "é", tu as tendance à les confondre. Je te montre un exemple d'un passage de ton test que j'ai corrigé après le slash / : - Citation :
- La veille au soir, à leur / à l'heuredu dîner, j'attendais Peter qui devait revenir du commissariat. Pour calmer l'atmosphère j'avais préféré l'un de ces / ses plats préféré / préférés (petite répétition) et préparé la table de tel / telle manière que ca fasse dîner en amoureux. Mais une fois arrivé je vis qu'il n'étais / n'était pas de très bonne humeur. Pendant le dîner, au début, je ne préférai pas m'aventuré / aventurer sur sa journée.
Et à la limite le dernier verbe préférer aurait pu être mis à l'imparfait plutôt ^^ Je suis pointilleuse car il s'agit d'un PV, j'espère que tu comprends ><'' Mais avec une relecture soignée tu pourras certainement rectifier le gros des fautes !! J'espère ne pas t'avoir découragée xD Si tu as besoin d'aide je suis là ! | |
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