Clyde & Bonnie, Where is Bonnie?

Clyde Berthwood

MON SECRET
Clyde n'a jamais été fière de sa famille, il n'en parle jamais à ses proches. Quand vraiment on lui demande, il répond que son père est un grand avocat et sa mère une danseuse en tournée, et explique qu'ils sont souvent en voyage. Personne ne connait la famille de Clyde. En réalité, sa mère fait une dépression, elle a fait plusieurs tentatives de suicides et elle est placée dans un asile. Son père les a abandonné, il ne l'a jamais connu. Il est fils unique.


MON CARACTERE

Mystérieux ; Prétentieux ; Perfectionniste ; Infidèle ; Ambitieux ; bagarreur ; Possessif ; Charmeur ; Protecteur ; Peu bavard ; Séducteur ; Fière ; Agressif ; Serviable ; Souriant ; Fêtard ; têtu ; Volage ; Jaloux ; Manipulateur ; Rêveur ; Artiste ; Hypocrite ; Attachant ;

Dieu, que Clyde est beau, est-il possible d'être aussi beau? Observons le marcher dans la rue, il est seul, et toutes les jeunes femmes se retournent en le regardant. Certaines l'abordent, d'autres se renseignent et lui trace sa route. En général, ses conquêtes il préfère les choisir, et non pas être choisi. C'est lui le mâle! Clyde est très ambitieux, s'il a une chose en tête il peut travailler dur pour avoir ce qu'il souhaite, il a toujours été habitué à avoir ce qu'il veut. Malgré que sa mère soit en dépression son compte en banque d'ancienne femme d'affaire est bien rempli. Clyde n'a jamais su ce contrôler, quand il est énerver il est obligé de se battre, de frapper et de déverser son énergie dans une violence immense. C'est un rêveur, en cour, c'était le jeune homme au fond de la classe, à côté de la fenêtre, regardant vers le stade la répétition des cherleaders. Clyde ne se rend pas compte du succès qu'il produit, il a beau être prétentieux et légèrement narcissique, il ne voit pas les femmes le regardaient et ses amis l'appréciaient. Il pense toujours être tout seul dans le fond, c'est un solitaire.

TEST RP

Citation :

Depuis plusieurs jours les doutes sur toi se sont multipliés. Les gens te voient comme un potentiel assassin alors qu'ils ne possèdent aucune preuve. Même tes plus proches amis se méfient de toi. Tu n'arrives pas à comprendre et décide de mettre les choses au clair avec la personne auquel tu tiens le plus. Décris cette scène en un nombre convenable de ligne, n'hésite pas à traiter tous les traits de la personnalité de ton personnage.

Clyde se regardait dans la glace, se dévisageant, cherchant à trouver la tête d'un assassin à l'intérieur sans jamais la trouver. Est-ce ce terrible nom de "Clyde" qui pousse les gens à s'éloigner dans les rues. Depuis quelques jours, les femmes ne le regardaient plus qu'avec des yeux effrayés, les personnes âgées se cachaient derrière les bancs du parc et ses amies étaient bizarrement toujours indisponible, eux qui n'avaient pourtant rien de prévu pour les deux semaines arrivant. Même la fête de Ramon était annulée, mais Clyde savait bien qu'elle aurait lieu tout de même, mais sans lui. C'était affiché sur tous les visages, la peur de l'autre, mais maintenant celui qu'il fallait craindre c'était Clyde. Les plus téméraires l'insultaient dans la rue, à la limite de l'accusation, les gens témoignaient avoir vu Clyde faire des choses étranges et la police téléphonait toutes les heures après avoir reçu un témoignage. Mais les gens aimeraient sans doute, qu'un suspect soit emprisonné, que ce soit vrai ou faux, il se contenterait de cette vérité et ne chercherait pas à en savoir plus.

Pour Clyde, il était hors de question qu'il serve de bouquet misère, il était conscient qu'il ne pourrait pas mettre un inconnu de son côté, sauf les jeunes petites filles complètement folles de lui ou celles attirés par le danger qui veulent faire peur à leurs mère en jouant les caïds. Il fallait donc trouver un amis, celui avec qui il s'entendait le mieux pour pouvoir le convaincre de cette injustice faîte. Et il en conclut très vite qu'il fallait qu'il coince Mattéo, l'homme qui lui avait fait visiter la ville à son arrivée à 18ans et avec qui il avait lié une grande amitié.

Clyde se dit qu'il trouverait sans doute Mattéo au bar du coin de la rue, ce bar où il aime tant chercher ses conquêtes. Clyde ne se trompa point, sortant du bar, un Mattéo tout heureux dont le sourire se crispa en voyant face à lui Clyde, le terrible Clyde. Il chercha à ignorer cette vision et partit dans la direction opposée. En quelques foulées, Clyde rattrapa Mattéo l'attrapant par l'épaule et d'un excès de violence le colla contre le mur. On sentait la colère montait en lui, il se força à se calmer et lâcha le jeune homme. Il souffla en se passant la main sur le front, d'un air perdu, il se dit que sa tendance à régler ses problèmes en violence ne pourrait que le conduire plus vite dans la cellule. Il regarda autour que personne ne l'est vue et regarda droit dans les yeux Mattéo, qui ne bougeait pas d'un pouce, comme s'il avait peur qu'on le tue, c'est une idée étrange n'est-ce pas?
- Hé mec ! Pourquoi vous m'évitez tous? On est pote oui ou non?
- Écoutes Clyde, je t'aime bien, mais je ne peux pas savoir si c'est vrai ou faux. Alors on va se quitter pendant un moment et quand on sera sûr que ce n'est pas toi on se reparlera.
Disait Mattéo avec un faux sourire, il essaya de partir, mais une nouvelle fois Clyde le bloqua de son point contre le mur, appuyant juste au-dessous de l'épaule.
- Alors c'est ça les amis? Quand je suis arrivé j'avais pourtant pas l'air d'un tueur? As-tu des preuves? Ohh ... Mais comment peux-tu me faire ça?
- Clyde ! Clyde ! Calmes toi ...
Disait-il avec crainte car Clyde respirait tellement fort sous la colère et ne pouvait s'empêcher de gesticuler en essayant de retenir la violence enfui aux creux de ses mains repliées..
- Franchement, tu ne nous dis jamais rien, je connais rien de ton histoire... Je sais juste que tu viens d'Irlande, qui me dit que tu ne t'es pas un exilé, un homme en cavale?
- Mais t'es con ou quoi ! ...
Clyde ouvra grande la bouche pour parler de sa famille, mais les mots ne sortaient pas, il referma la bouche d'un air désespéré et passa la main dans ses cheveux en se les arrachant légèrement.
- Tu vois ! Dit Mattéo en rajoutant.
- Mais je croyais que nous c'était pour la vie, qu'on était comme les deux doigts de la main, comment peux-tu croire ça? Les gens sont tous si sournois ... Tu te souviens quand tu étais saoul et que je t'ai empêcher de sauter d'un pont? Quand je t'ai laissé la plus belles des jumelles? J'ai toujours veillé sur toi et fais en sorte de te donner le meilleur, pourquoi voudrais-je te tuer toi? Et encore plus un docteur que je n'ai rencontré qu'une seul fois dans la rue?
- J'en sais rien Clyde! Je suis désolé mec, t'es un vrai amis, mais je suis pas suicidaire.
D'un geste rapide, Mattéo arriva à se dégager, il se mit à courir au plus vite, Clyde le regarda partir d'un air désolé, les gens dans la rue le dévisager, ils croyaient certainement que Clyde avait agressé Mattéo. Mais les gens ne se fient qu'aux apparences.

Clyde était resté figé sur ce coin de rue, il ne savait plus quoi faire et se frottait les yeux pour sortir d'un mauvais rêve. Ses mains tremblaient et il frappa violemment dans le mur juste en face lui, il se fit mal, ses mains étaient rouges et saignaient un peu, mais lui, comme insouciant de sa douleur regardait au loin, serrant les dents en contenant sa colère. Il se remit à marcher, direction son petit appartement où il s'enfermera pendant des jours.

PARCOURS

" Je fume, je bois, je baise. Triangle équilatéral. " [Serge Gainsbourg]

D'un folle amour perdu, est née Clyde:

Dieu, qu'elle était belle Bonnie, digne des plus grandes mannequins avec l'intelligence d'Einstein, elle avait préféré son cerveau en devenant une grande femme d'affaire. Bonnie, c'était la version féminine de son fils Clyde, seulement elle, elle avait donné son cœur à un seul homme Aaron Berthwood. C'était un chanteur sans aucun succès, pas très beau, pas très futé, mais il avait quand même conquis le cœur de Bonnie avec sa maladresse. Elle était si fragile Bonnie. Ils virent une idylle, les gens ne comprenaient pas cette amour de la Belle et la Bête. Il ne voulut jamais l'épouser et elle ne lui demanda jamais plus que ce qu'elle avait. Un jour, après une dizaine d'année à parcourir le monde, elle tomba enceinte pour son plus grand bonheur. Ils vivaient tous les deux en Irlande, elle sortait tout juste de chez le médecin quand Aaron arriva d'un air sévère et lui dit:
- Pourquoi tu vas à l'hôpital sans me prévenir. Que me caches-tu?
Il avait ce regard froid, cet air fière et ce point serré près à cogner. Aaron l'avait bien consumer à la belle, il ne l'avait jamais traiter comme elle aurait dû. Elle souri, sautant sur ses deux pieds et lui sautant au coup elle lui dit, folle amoureuse, avec une joie immense:
- Je suis enceinte, chérie. Nous allons être parents. C'est génial n'est-ce pas?
D'un geste brusque, la bête rejeta la belle et lui serrant le poignet il lui dit d'un ton menaçant:
- Abandonnes cet enfant! Abandonnes-le ou je t'abandonne!
Bonnie voulut répondre mais elle connaissait le regard de son conjoint, elle ne voulait pas l'abandonner mais elle se dit que c'était la meilleure chose. Elle aurait tout fait pour rester proche de son amour, son amour violent, son amour qui la rongeait chaque jour, mais aussi parce qu'elle n'imaginait pas pouvoir élever son enfant seul, sans père, il souffrirait. Elle regarda son conjoint, les yeux larmoyants, acquiesça d'un signe de tête et partit en courant.

Quand elle se trouva à la clinique, prête à l'opération, les médecins voulurent l'endormir mais elle fut soudain éprise d'un mauvais pressentiment, elle se mit à crier comme si son amour venait de la quitter, comme si la seul chose qui le retenait vivante dans ce monde la quittait et elle courut, longtemps, pour rejoindre sa maison. A croire qu'elle avait un don, qu'elle était relier à Aaron, car quand elle arriva chez elle, elle trouva une lettre, Aaron la quittait, pour une autre plus riche, une star sadomasochiste. Ce soir là, les larmes coulèrent, coulèrent, et des fontaines en tombèrent. Elle alla vivre chez sa mère qui réussi à la convaincre de garder l'enfant. Bonnie fut à jamais détruite.

Neufs mois plus tard, Nous retrouvons Bonnie dans une clinique, en train d'accoucher. Les médecins s'approchèrent et lui demanda comment s'appellera le bébé et elle répondit d'une voie aussi fière qu'il n'est imaginable:
- Clyde, Il s'appellera Clyde! Car nous formerons le duo de choc: Bonnie & Clyde. Et son deuxième prénom sera Aaron, comme son père!
Aaron, Aaron, voilà un nom que Clyde déteste et qu'il devra porter toute sa vie. En lui donnant ce prénom, Bonnie rejetait toute la tristesse sur Clyde, tous les défauts: la violence, la solitude sur Clyde. Clyde ne comprit jamais pourquoi sa mère l'avait appelée comme ça, c'était comme l'appeller par le nom du diable.

Si mignon, déjà enfant, Clyde était un héros:

Toute l'enfance de Clyde fut sombre, il regardait en permanence cette si belle mère, amochée par sa grossesse, par des cicatrices mais surtout par cette tristesse permanente affichée sur son visage. Elle plaça Clyde dans des écoles privées, où il était déjà un brillant élève qui pensait qu'en ayant des bonnes notes, ils arriveraient à donner le sourire à sa mère. Mais quand il rentrait, avec l'habituel 10/10, sa mère lui caressait les cheveux, avec un petit sourire et elle regardait par la fenêtre au loin, comme si elle attendait quelque chose. Il était rare de l'entendre parler, Clyde a toujours cru qu'il était de trop, une corvée pour elle. Quand il eut 10ans, alors qu'il était brillant partout, sa grand-mère mourût, sa mère s'effondra... Bonnie avait toujours su retenir les larmes, mais la perte de sa mère était de trop, deux semaines plus tard elle fît une tentative de suicide et Clyde dût partir dans un internat:
Bonnie était assise sur son vieux fauteuil, quand à la porte quelqu'un sonna. Clyde arrivait tout gaiement dans le salon, c'est alors qu'une affreuse vieille femme l'attrapa par le tee-shirt et le regarda sévèrement. Bonnie pleurait et il demanda ce qu'il se passait.
- Mon petit chérie, mon petit Clyde! Tu sais que je suis fière de toi. Pour te récompenser de tes efforts, tu vas être placé dans un internat, tu seras en permanence avec tes copains. C'est chouette non?
- Non! je veux rester avec toi Maman.
Clyde cria, de toute sa voix, sanglotant dans la voiture de la vieille femme. Il savait très bien que s'il était placé dans un internat c'était à cause du suicide de sa mère. Quand il quitta sa mère, on aurait cru qu'on lui aurait arracher le cœur, tout les voisins sortirent de leurs maisons. Clyde n'eut plus de voix pendant une semaine.

Bonnie, Clyde est de retour:

A 15ans, il fût jugé que Bonnie était de nouveau capable de s'occuper d'un enfant et Clyde rentra à la maison. A l'internat, la vie n'était pas aussi rose que chez lui, parce qu'après tout chez lui il avait sa mère et tout ce qu'il voulait avec l'argent de Bonnie. Dans son petit pensionnat, les garçons étaient tous des délinquants, des idiots, que Clyde imita, c'est là-bas qu'il développa son potentiel de bagarreur pour défendre sa mère, qu'il se renferma, qu'il devînt fêtard et tous ses détails. Au début, sa mère exagéra l'arrivée de son fils, elle faisait semblant que c'était un bonheur, alors que ça lui faisait plaisir mais elle avait des blessures bien plus grandes dans son cœur. Clyde était plutôt indépendant, sa mère tomba dans une grosse dépression nerveuse alors qu'il avait 16ans, il se fit émanciper et elle partit dans un asile. Aujourd'hui, elle le reconnaît à peine.

A 18ans, Clyde décida qu'il fallait qu'il parte, le plus loin possible, pour ne pas vivre dans cette fontaine de remords, de souvenirs qui berçaient le pays. Il partit en Australie, à Sydney, car il parait que là-bas beaucoup d'emplois sont à prendre, et un amis à lui y a vécu. Clyde, décida d'inventer l'histoire de ses parents quand on lui demandait vraiment, il avait beau aimer sa mère, il préférait la garder pour lui, car sa mère c'est son plus grand bonheur et son plus grand malheur à la fois.

INTERROGATOIRE INEVITABLE




•• Que pensez-vous de l'assassinat du docteur McOwens ?

- Honnêtement? Aujourd'hui des meurtres, des faits divers il y en a partout. Je ne suis pas inquiet pour ma part, je n'ai rien à me reprocher, et vous savez, des victimes, il y en aura encore d'autres. Le tueur n'en veut peut-être pas à d'autres gens mais simplement au Docteur. Vous savez, je m'en fou, j'ai d'autres problèmes à régler.

•• Le connaissiez-vous ?

- Un jour, en me promenant dans la rue, il m'avait demandé de le prendre en photo avec une femme. Je ne le connais pas plus que de vue.

•• Où étiez-vous au moment du crime ? Et que faisiez-vous ?

- Au moment du crime? J'étais à une fête, entrain de séduire une belle demoiselle. Si vous ne me croyez pas je peux vous donnez son prénom et son nom, mais vu le degré d'alcool qu'elle avait bu, j'ignore si elle s'en souvient.

•• Face à cette affaire, comment réagissez-vous ?

- Je m'en fiche.

•• Selon vous, qui pourrait être l'éventuel suspect ?

- Bon, je ne sais pas vraiment. Mais moi, cette Wendy Fisher, c'est sa maitresse, c'est forcément elle. Elle n'est pas claire, je le sens. Après tout, elle était jalouse, parce qu'elle voulait Caleb. Et toutes ses histoires sont bien trop compliquées pour moi. je ne suis pas détective.

LE MASQUE TOMBE


pseudo(s) : Coffee
prénom : Lucile
âge : 16ans
sexe : I'm a girl
niveau RP : Assez élevé
exemple de poste : Je m'excuse mais je reprends le rp avec ce forum, et mes rps sont trop anciens, je pense être au dessus du niveau que j'avais avant. Si vous le souhaitez vraiment j'en chercherai un.
comment avez-vous connu SS ? : PRD
présence /7 : 7/7jours
code des règles :

Spoiler:

autre(s) chose(s) ? : Ce forum est magniiiifique