HAYDEN • lookin'foratitle.

TYLER HAYDEN GAGE

MON SECRET
En 5 lignes, expliquez précisément le lourd secret que votre personnage garde au fond de lui. Essayez d'être créatif et originaux.


MON CARACTERE

beau parleur ; malin ; drôle ; bagarreur ; charmeur ; machiste ; sociable ; comédien ; imprudent ; souriant .

D'un naturel enjoué, la plupart des personnes qui le connaissent, vous parleront de cette bonne humeur quasi-constante. Hay' c'est 1m83 de rires, et de sourires à tout va. Enfin quand il en a envie. Considéré comme un véritable bout-en-train, on peut difficilement passer quelques heures d'affilée sans qu'il ne fasse une connerie. Bien souvent faite exprès, il lui arrive cependant de transformer une maladresse en nouvel exploit. Autant dire qu'il est bon comédien.. Et ça, il s'en sert pour tout ! Autant pour se sortir de situations compromettantes, que pour draguer, ou encore pour jouer le commercial dans toute sa splendeur. Faut dire qu'il a un sacré bâgou le néo zélandais ! A tel point qu'il lui arrive souvent de mettre les pieds dans le plat. Mais on lui pardonnera. Comme je le soulignais, monsieur drague. Certes, tout le monde le fait quand il en a les moyens. Hay', lui, s'il était payé à draguer, pour sûr qu'il serait un membre des Rothschild. C'en est presque compulsif, sauf qu'il ne saute pas sur tout ce qui bouge, quand même. Et puis, le skater aurait tendance à être machiste -pas que sur les bords-, non, une fille c'est.. Mieux vaut ne pas savoir sa conception. Il n'a pas un caractère avec de grosses failles, il serait presque je-m'en-foutiste, même sur des sujets graves. Ca lui passe bien au-dessus de la tête toutes ces histoires.. En dehors de ce côté extraverti et dragueur, il lui arrive d'être imprudent, de pas prendre les risques à la bonne échelle; enfin, c'est lui qui paie après. Sachez aussi, que si il y a des règlements de compte, il sera pas celui qui fera un pas en arrière.

TEST RP

" Tu reviens d'une soirée, complètement bourré, titubant sur le trottoir. Tu ne prêtes pas vraiment attention aux mecs qui te suivent depuis quelques secondes, après tout les gens ont le droit de marcher derrière toi, ce n'est pas encore interdit par la loi ! Mais tu aurais peut être du y prêter un oeil plus attentif, car les trois mecs décident de te plaquer contre le mur d'une propriété pour te voler de l'argent. Eh oui, il fallait que ça tombe sur toi. Tu leur donne docilement ce qu'ils demandent, tu crie au secours, joues les chevaliers ou fais diversion pour t'enfuir ? "

Posté en face d'une fontaine, debout sur le bord, les bras écartés, à moitié débraillé, j'attends. Quoi? J'sais pas trop. J'profite juste des gouttes d'eau qui me tombent dessus, en essayant de tenir en équilibre; c'est pas gagné. Et le temps passe.. Mes paupières s'activent, réveillant mon regard, et me faisant retomber sur terre. Je saute, et ce muret aurait presque eut raison de ma jolie p'tite gueule. J'me rattrape comme j'peux, et tangue pendant quelques secondes, droite, gauche, droite.. Mais j'avance quand même. Ouais, cinquante mètre minute, et si on compte les écarts ça doit faire quelques chose comme le double de la distance.

C'qu'il fait chaud ! C'est dingue, j'suis sur que le soleil va pas tarder à se repointer, et j'ai l'impression d'avoir passé une heure sous ses rayons. Passant ma main sur mon front, je bataille pendant une petite minute avec mes cheveux qui ont décidé de me mener la vie dure. Déjà que ma vision est sacrément réduite, avoir cette espèce de frange nouvellement créée devant les yeux n'arrange rien ! Fouillant dans mes poches, je cherche ce que j'ai sur moi.. Rien. Ah si, mon BlackBerry. L'écran s'allume, j'approche mon visage du téléphone, me retrouvant courbé en deux, et je me sens partir en avant, tête la première. J'me redresse d'un coup, la tête me tourne.
Me concentrant afin de rester sur le trottoir, je m'arrête de temps en temps lorsque je suis trop fixé sur mon téléphone, à la recherche d'un contact à emmerder. Lidy? C'est qui ça? Next. Olivia ? J'appuie longuement sur la touche d'appel, cherche le haut-parleur et colle le téléphone à mon oreille. Je le retire aussi rapidement, en grimaçant, c't'imbécile m'a explosé le tympan! Lorsqu'un dernier bip retentit, je commence à sourire bêtement.

« Ouais poulette, m'semble que t'as oublié quelque chose chez moi, qui ressemble à une p'tite culotte, ouais. J'espère que ton larbin a pas deviné que j't'ai sauté ! Ha ! Ca s'rait con hein. ... Non mais franch'ment ! Tu crois que j'ferai passer un boudin pareil dans mon pieu? Allez Oli, fais de beaux rêves. De moi, bien sur! »

J'raccroche, et j'ris. Tout seul, comme un con oui. J'suis fier de ma connerie, vous savez, il en faut peu lorsqu'on est saoul. J'me retourne et aperçois quelques personnes au bout de la rue. Haussant les épaules, je reprends mon chemin, shootant dans une pierre au fur et à mesure de mes pas. J'me retourne encore une fois, bah ils ont l'air plus près, mais un coup j'en vois trois, un coup six. Ma tête.. J'ai à peine le temps de faire encore une dizaine de mètres qu'une main s'abat sur mon épaule et m'emmène jusqu'à un mur. J'suis incapable d'imposer une résistance sous la surprise, et me demande c'qu'il m'arrive ! J'ai rien fait pour une fois. Et paf, les six.. enfin de plus près ils ont l'air d'être que trois.

Ils commencent à poser leurs mains partout sur moi, instinctivement je retourne une droite à celui qui est le plus près. Pas l'temps de réagir encore une fois, et on me renvoie le coup. Un goût de métal s'insinue dans ma bouche, j'dois avoir la lèvre défoncée. Je grimace, entre l'alcool en trop et le goût du sang, j'me sens pas très bien là. Une main s'agrippe à ma gorge; merde il serre fort le con. Si j'savais gerbé sur commande, il aurait eu droit à un masque c't'enfoiré. Ils m'demandent de l'argent. J'ai rien, que dalle. Et j'peux même pas parler tellement l'autre me coince. Dans un geste peu adroit, j'lui en fous une au coin de la mâchoire pour qu'il me lâche, et un de ces acolytes me vise le foie; j'ai l'impression que j'vais cracher mes tripes sur le trottoir.

« Bande de putes. Vous croyez quoi, que j'me balade avec une liasse de billets verts dans la poche? »

Reprenant mon souffle, j'me redresse, crache. Un sourire moqueur apparaît sur mes lèvres, de toute façon, j'ai plus rien à perdre, j'le sais. Sont trois, jsuis seul, pas adroit dans l'état que j'suis. J'sortirai pas de c'truc avec une éraflure à la lèvre, c'est sur.

« Ah c'est moche d'être jaloux.. Le fric c'est pour vous faire refaire la gueule, parce que vous arrivez pas à serrer hein? »

Tout juste le temps de terminer ma phrase, et j'reçois des coups en cascade. J'essaie même plus de répliquer, peine perdue. Et puis, j'les ai saignés avec la vérité que j'leur ai balancée en pleine tête. Alors ils peuvent continuer à cogner, j'repars avec ma satisfaction personnelle, mon BlackBerry et une p'tite gueule sérieusement amôchée. Tant pis, de toute façon, paraît que ça rajoute du charme auprès des filles.

INTERROGATOIRE INEVITABLE


Répondez aux questions comme une interview, donc à la première personne du singulier. Rédigez quelques lignes à chaque question pour bien expliquer vos propos.

•• Que pensez-vous de l'assassinat du docteur McOwens ?

•• Le connaissiez-vous ?

•• Où étiez-vous au moment du crime ? Et que faisiez-vous ?

•• Face à cette affaire, comment réagissez-vous ? ( vous voulez lancer votre propre enquête, vous n'en avez que faire... etc )

•• Selon vous, qui pourrait être l'éventuel suspect ? ( à voir dans les pvs )

LE MASQUE TOMBE


pseudo(s) : Revenge.
prénom : Julie.
âge : 19 y-o.
sexe : Aux dernières nouvelles, féminin.
niveau RP : La quarantaine de lignes.
exemple de poste : ( spoilers )
comment avez-vous connu SS ? : par OWEN-le-terrible
présence /7 : 5-6 / 7
code des règles :

Spoiler:

autre(s) chose(s) ? :

PARCOURS

Assis sur les marches de l'escalier à l'arrière de la maison, je regarde l'océan qui s'étend à perte de vue. Et je vois mon père, et sa planche, ne faire qu'un avec les vagues. La tête reposant sur mon poing, j'ai mal dans le ventre. J'ai mal, parce que j'ai peur de l'eau, et que j'ai tout autant envie d'y plonger tête la première; alors ça me tiraille à l'intérieur. J'entends la porte fenêtre coulisser derrière moi, et dans les secondes qui suivent, une petite main se faufile dans mes cheveux, me les ébouriffant, alors qu'un rire brise le silence dans lequel je me tenais jusque là. Ma grande soeur. Billie. Elle a alors presque huit ans, alors que j'en ai six. Et elle, elle n'est pas punie. Alors elle dévale les marches, sa planche à la main, et elle attend au bord de l'océan que notre père veuille bien l'aider à ce qu'elle se lance au milieu des vagues.

UC;